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Dakar 2016 : Calendrier +parcours +programme du rallye en Amérique du Sud +live #Dakar2016


Le rallye Dakar 2016 c’est maintenant ! Près 556 concurrents, et 143 motos, 46 quads, 110 autos, 55 camions, et 332 journalistes en permanence sur le rallye (presse écrite, agences photos, radios, télévisions, sites Internet), quelques 1 400 journalistes accréditées sont parès et déjà prêt pour le grand rassemblant à l’autre bout du monde, en Amérique du Sud ! Pour la cinquième fois depuis 2009, Buenos Aires se transforme en capitale mondiale des sports mécaniques pour donner le départ du Dakar. Et retrouvez sur DESIGNMOTEUR, le calendrier du rallye du départ à l’arrivée, du programme de chaque course étape, le programme TV avec les horaire de diffusions des émissions TV, car c’est surement le seul moyen de suivre tout cela via France TV. Aussi, retrouvez un moyen pour suivre la course en direct, via les réseau sociaux grâce à Twitter via le hashtag #Dakar2016 !Go to scroll!

Programme TV du Dakar 2016 :

Voir l’article : En piste pour le Dakar 2016 ! Calendrier +programme TV

Programme du Dakar 2016 :

Sans répit… et sans secousse. L’alternance des difficultés et des terrains sert de colonne vertébrale au parcours du Dakar 2016. Entre les contrastes de relief, de température et de sol, les pilotes et équipages seront soumis à de réels tests d’adaptation et à une remise en question quotidienne. Pour autant, ils sentiront surtout une constante montée en régime en avançant marche après marche vers la deuxième partie du rallye : les spéciales les plus exigeantes y sont programmées, alors que l’accumulation des kilomètres pèse à la fois sur les hommes et sur les machines. Bienvenue dans l’endurance extrême.


#Dakar2016 Live

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Carte du Dakar 2016 :

Dakar 2016 - map / carte

Dakar 2016 – map / carte

Calendrier du Rallye Dakar 2016 :

31/12 et 01/01 : Vérifications administratives et techniques
02/01 : Podium à Buenos Aires / Prologue / Liaison vers Bivouac « 0 » proche de Rosario
03/01 : Buenos Aires – Villa Carlos Paz
04/01 : Villa Carlos Paz – Termas de Rio Hondo
05/01 : Termas de Rio Hondo – Jujuy
06/01 : Jujuy – Jujuy
07/01 : Jujuy – Uyuni
08/01 : Uyuni – Uyuni
09/01 : Uyuni – Salta
10/01 : Journée de repos à Salta
11/01 : Salta – Belen
12/01 : Belen – Belen
13/01 : Belen – La Rioja
14/01 : La Rioja – San Juan
15/01 : San Juan – Villa Carlos Paz
16/01 : Villa Carlos Paz – Rosario

Parcours du Dakar 2016 :

Video – The route / El recorrido / Le parcours – Dakar 2016


Discover the route of the 2016 Dakar Rally in details.

Etapes du Dakar 2016 – Jour par jour & Videos

Video #Dakar2016 30 décembre 2015 – Direction l’Amerique du Sud !


Les vehicules des concurrents embarquent pour l’Amerique du Sud !


Zone portuaire d’Euroamerica – Terminal Maripasa : Les concurrents européens ont rendez-vous… avec leurs véhicules de course et d’assistance, fraîchement débarqués d’Europe.

31 décembre 2015 et 1er janvier 2016 – Tecnopolis

Comme lors de l’édition 2015, c’est au Nord-Ouest de Buenos Aires, dans le centre d’exposition de Tecnopolis, qu’auront lieu les vérifications administratives et techniques. Deux jours de fête pour le public, deux jours d’ultime préparation pour les équipes.

2 janvier 2015 – Podium, Prologue et bivouac « light » à Rosario

Le podium à Tecnopolis : À l’issue d’un briefing Concurrents matinal, ce podium ne sera donc pas seulement « protocolaire », mais fera partie intégrante de la liaison menant au prologue.

Le Prologue Buenos Aires – Rosario : Dans la province de Buenos Aires, ce tracé d’une dizaine de kilomètres – qui comptera au classement général du Rallye – a principalement pour vocation de déterminer l’ordre de départ du lendemain.

Le chronomètre est enclenché sur une distance qui permet d’étalonner les pilotes et de les répartir sur un ordre de départ cohérent pour le lendemain, mais pas suffisamment longue pour parler d’une première journée de compétition. La mini-spéciale au programme et la liaison qui mène au bivouac « light » de Rosario ne devraient causer aucun dommage… sauf aux plus malchanceux et/ou aux très imprudents !

Bivouac « light » Rosario : Après cette longue journée, ce relais-étape accueillera les concurrents et leurs assistances en route pour Villa Carlos Paz et la première « vraie » journée de course.


Avec près de 3 500 km de distance entre la frontière bolivienne et les extrémités de la Terre de Feu, l’Argentine a la carrure d’un État-continent. Son étendue donne plusieurs visages au pays. Et si les contrastes sont nombreux en matière de paysages, la passion pour les sports mécaniques est en revanche uniformément répartie sur le territoire. De Buenos Aires, où les concurrents ont goûté à leurs premiers bains de foule en 2009, à San Miguel de Tucuman ou Salta, en passant par Mar del Plata, dont les plages étaient désertées par les vacanciers qui voulaient rencontrer les pilotes du Dakar en 2012, l’engouement populaire a été constant.

Les Argentins ont connu de grands moments de joie avec les pilotes qui les ont représentés sur le rallye. Depuis 2009, c’est surtout la saga Patronelli qui a alimenté la chronique avec quatre trophées conquis en quad par Marcos et Alejandro entre 2010 et 2013… et la promesse d’un retour au plus haut niveau du duo cette année ! Les couleurs albiceleste sont aussi défendues valeureusement dans la catégorie reine par Orlando Terranova, qui a justifié son statut de prétendant au podium en finissant à deux reprises à la 5e position. En janvier dernier, bien qu’étant à distance au général (18e), « Orly » s’est adjugé 4 étapes sur le rallye.


3 janvier 2016 – Départ de Buenos Aire

Dimanche 3 janvier – Étape 1 – Rosario – Villa Carlos Paz
L’Argentine est un pays de montagne, sous toutes ses formes. Il n’est pas encore question d’altitude sur cette première étape, mais les cimes sont bien présentes dans l’environnement visuel. Sous les roues des véhicules, le décor se traduit par des pistes sinueuses en montée et en descente, hormis sur la première partie de la spéciale, plus rapide. Une séparation partielle des catégories permettra d’éviter les situations de dépassement périlleuses.

Video #Dakar2016 – Des images époustouflantes… Grâce à la météo !

Lundi 4 janvier – Étape 2 – Villa Carlos Paz – Termas de Rio Hondo
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : avec environ 800 kilomètres à parcourir selon les catégories, la journée sera très longue. La distance est conséquente à la fois en spéciale et en liaison : si le terrain de jeu ne présente pas de réelles difficultés, les pistes plutôt rapides pourraient déjà apporter un bénéfice intéressant aux avaleurs de collines et enjambeurs de rios qui maintiendront un rythme élevé sur toute la longueur. Ce jour-là, les autos et camions ont droit à une rallonge.

Video #Dakar2016 – Résumé de l’étape : Loeb patauge moins !


Sébastien Loeb (Peugeot) a signé ses débuts sur le Dakar avec la manière en enlevant lundi la 2e étape du Dakar, longue de 387 km entre Villa Carlos Paz et Termas de Rio Hondo, une étape raccourcie pour des raison météorologiques. Le nonuple vainqeur en rallye WRC a démontré tout son talent sur un parcours qui lui convenait parfaitement.

Mardi 5 janvier – Étape 3 – Termas de Rio Hondo – San Salvador de Jujuy
Le format est plutôt resserré pour la bataille du chrono du jour… tout comme les pistes de montagne à emprunter pour boucler la spéciale. Les experts de la glisse et de la trajectoire trouveront ici à s’exprimer, à condition de garder un niveau de concentration constant. Les chasseurs de spéciale peuvent être à l’affût sur ce tracé pensé pour les opportunistes. Mais le programme pourrait aussi être transformé par d’éventuelles précipitations : les hommes forts ne sont pas nécessairement les mêmes sur terrain lourd.

Video #Dakar2016 – Le résumé moto de l’étape : une boue dévastatrice


Sur une piste très compliquée, avec des passages délicats, des parties sinueuses et du vent, de la boue et de l’eau, les pilotes ont dû composer avec les éléments, certains ont été dans le rythme et d’autres n’ont pas eu la réussite escomptée. Mais pour tous, la course était enfin lancée après l’attente des jours précédents, et cela a levé les inquiétudes et permis de chasser la nervosité. Toby Price fait donc partie de ceux qui ont su négocier la route. En effet, l’Australien a remporté en moto la deuxième étape disputée entre Villa Carlos Paz et Termas Rio Hondo (Argentine). Voici le résumé de cette étape marquée par une boue particulièrement problématique.

Mercredi 6 janvier – Étape 4 – San Salvador de Jujuy – San Salvador de Jujuy
À plusieurs titres, les concurrents sont confrontés ici à leur premier grand test. On évolue sur la spéciale à une moyenne de 3 500 mètres d’altitude, avec des changements de rythmes incessants liés à l’alternance de terrains sablonneux et caillouteux. Ce menu copieux est servi alors que tout le monde a roulé près de 2 500 km, avec un volume d’heures de selle ou de baquet déjà usant pour les pilotes de bas de tableau. Surtout, il s’agit de la première partie d’une étape marathon particulière avec parc fermé pour les véhicules… et pour les concurrents.

Jeudi 7 janvier – Étape 5 – San Salvador de Jujuy – Uyuni
La vigilance sera de mise dans tous les domaines pour cette deuxième partie de l’étape marathon : en plus de la gestion de la mécanique et particulièrement des pneumatiques, chacun devra se montrer tout aussi attentifs aux réactions de son propre organisme. L’entrée en Bolivie signifie aussi une élévation brutale de l’altitude, avec un point culminant à plus de 4 600 m – le plus haut de toute l’histoire du Dakar – sur la spéciale du jour. Techniquement, c’est aussi sur cette étape que l’on change de registre, avec les premières portions de hors-piste, ainsi que quelques trouvailles de navigation qui n’arrangeront pas le mal de crâne de certains co-pilotes…


Entourée de géants, la Bolivie s’est fait une place à part dans l’histoire de l’Amérique du Sud. Le continent a été dans son ensemble marqué par l’action du premier président du pays, Simon Bolivar, qui fut l’opposant le plus actif dans la lutte contre la couronne d’Espagne. Le Libertador a ainsi participé de façon décisive à l’émancipation de la Colombie, de l’Équateur, de Panama, du Pérou et du Venezuela, défendant aussi le projet d’une confédération politique regroupant l’ensemble des pays d’Amérique latine. En plus de ses visiteurs habituels, la Bolivie a reçu pour la première fois en 2014 les concurrents du Dakar pour une incursion qui a permis aux motards de découvrir le somptueux Salar d’Uyuni, plus vaste désert de sel du monde. En 2015, les équipages autos ont eux aussi goûté l’accueil unique que sont capables de réserver les Boliviens au rallye. Cette fois-ci, c’est un bivouac réuni au complet qui sera installé à Uyuni.

Vendredi 8 janvier – Étape 6 – Uyuni – Uyuni
La plus longue spéciale du Dakar se présente au 6e jour de course consécutif. Et il ne s’agit pas de la seule difficulté de cet exercice, qui se jouera entre 3 500 et 4 200 mètres d’altitude. Les changements de rythme et de sols sont constants, et l’alternance entre la terre et le sable peut s’avérer déroutante, surtout si la pluie se mêle de la partie. Les clins d’œil au Salar d’Uyuni ne forment qu’une partie des réjouissances visuelles au programme. La catégorie camions, qui joue à part sur cette 6e étape, visitera quant à elle le village natal du Président Evo Morales.

Samedi 9 janvier – Étape 7 – Uyuni – Salta
La fin de la première semaine de course constitue toujours un objectif intermédiaire décisif. Cette année, il est accessible à tous ceux qui ont fourni les efforts nécessaires dans leur préparation, et su respecter les consignes majeures de la discipline. Toutefois, il faudra encore venir à bout de cette journée usante, que l’on passera en partie avec les pieds mouillés par les traversées de rios. Il est prévisible que la moitié des véhicules arrive de nuit à Salta… mais peut-être avant leurs équipes d’assistance qui ont également une longue route.

Dimanche 10 janvier – Journée de repos – Salta
Le Dakar a ses habitudes à Salta, dont le bivouac a déjà servi de cadre à la journée de repos en 2013 et 2014. Mais une fois encore, cette pause ne devrait pas permettre à beaucoup de concurrents de flâner dans le cœur de ville caractérisé par un riche patrimoine architectural hérité de l’époque coloniale. Le programme est toujours chargé pour effectuer un entretien complet des véhicules, profiter d’un supplément de sommeil et se reconcentrer sur les objectifs encore plus élevés de la deuxième semaine. Pendant la récré, c’est encore la course…

Lundi 11 janvier – Étape 8 – Salta – Belen
Le changement de terrain qui marque l’entrée dans la deuxième partie du rallye doit aussi enclencher un nouveau logiciel chez les pilotes, qui affrontent les premiers secteurs de dunes de l’édition 2016. Les experts du franchissement tiendront ici une occasion de s’exprimer et même de faire la différence. Ils constateront aussi que les subtilités de navigation introduites cette année peuvent leur compliquer l’existence. Des paquets de minutes peuvent s’évaporer sur des séances de jardinage.

Mardi 12 janvier – Étape 9 – Belen – Belen
Cette étape en boucle n’en sera pas tout à fait une pour les motos et quads, qui termineront la première partie de cette deuxième étape marathon dans un bivouac isolé. Auparavant, ils auront passé la journée, tout comme les pilotes des autres catégories, en hors-piste quasi-intégral, à la fois dans des dunes parsemées de végétation et sur des terrains plus durs, parfois dans le lit de rivières. Physiquement, le défi du jour peut se révéler pimenté, en accord avec la progression du mercure dans le thermomètre. Les plus solides seront aussi les plus lucides pour effectuer les bons choix de navigation, un enjeu central sur cette spéciale.

Mercredi 13 janvier – Étape 10 – Belen – La Rioja
Les dunes de Fiambala sont devenues l’un des lieux de confrontation décisifs sur le Dakar. Cette année, elles seront abordées au cœur de la séquence la plus critique du rallye, quand les pilotes et aussi leurs véhicules seront amenés à faire la preuve de leur aptitude à l’endurance extrême. D’ailleurs, dans l’histoire commune au Dakar et à Fiambala, l’étape du jour propose le plus gros kilométrage de dunes, et du hors-piste sur l’essentiel de la distance. En somme, un boulevard pour les spécialistes du désert.

Jeudi 14 janvier – Étape 11 – La Rioja – San Juan
Le curseur de la difficulté reste sur le même échelon, avec des variantes qui favoriseront les pilotes et équipages les plus polyvalents. Le sable sera présent sous plusieurs formes et notamment la plus volatile et indigeste, celle du fesh-fesh, qui impose autant de doigté que de patience. Mais la vitesse pure sera aussi un atout sur d’autres portions plus rectilignes, où les graviers et cailloux auront pris le dessus. Les occasions ne seront plus très nombreuses, mais il est encore temps de bousculer la hiérarchie, puisque le terrain se prête à des écarts importants.

Vendredi 15 janvier – Étape 12 – San Juan – Villa Carlos Paz
Plus de 900 kilomètres à parcourir à la veille de l’arrivée, dont plus de la moitié en spéciale, exception faite des camions, dont le gabarit serait inapproprié sur une partie des pistes au programme. En semi-montagne, la végétation qui borde les voies pourrait en effet les placer à l’étroit ! Ce qui signifie que les autres véhicules devront eux aussi faire preuve d’adresse. Les amoureux du pilotage à l’état pur seront à leur aise, mais il s’agira surtout de se méfier des impairs : à ce stade de la partie, les fautes se payent très cher.

Samedi 16 janvier – Étape 13 – Villa Carlos Paz – Rosario
Les prétendants au titre seront à coup sûr ceux qui vivront le plus difficilement les 180 kilomètres de la spéciale du jour, conçue avec des pistes sinueuses en montées-descentes, d’autres plus rapides sur sable ou en environnement caillouteux… et donc avec une dose importante de stress. Pour la plupart des autres, les 699 km à boucler jusqu’au podium de Rosario seront ceux de la délivrance. À savourer sans la moindre modération…


16 janvier 2016 – Arrivée à Rosario

À l’issue des 13 étapes de course et de cette extraordinaire aventure, les plus valeureux concurrents passeront sur le podium de Rosario, devant le « Monumento de la Bandera », un des symboles de l’Argentine, qui avait souhaité la bienvenue au Dakar lors de l’édition 2014.


Marathon et navigation à l’honneur

Un format de départ inédit sera expérimenté sur l’étape Belen – La Rioja, rebaptisée « super-spéciale de Fiambala », et correspondant à la deuxième partie de l’étape marathon pour les motos et quads. Sur la base des temps enregistrés la veille, les 10 meilleures motos, les 10 meilleures autos et les 5 camions les plus rapides prendront le départ mélangé, avec trois minutes d’intervalle. Pour la première fois, les motos, autos et camions de pointe rouleront ensemble, obligeant notamment les premières voitures à ouvrir la piste quasiment sans traces. Cet ordre de départ totalement inhabituel devrait aussi redistribuer les cartes quant aux tactiques mises en place… la veille !

Le schéma de course souvent observé dans la catégorie moto, qui consiste à voir le vainqueur de la veille perdre son avantage sur ses poursuivants lorsqu’il joue son rôle d’ouvreur, devrait être contrarié par une modification concernant l’ordre des départs. Comme dans la course auto, les 10 premiers seront lancés dans la spéciale avec trois minutes d’intervalle. Dès lors, les regroupements s’effectueront de façon plus tardive, les meilleurs navigateurs ayant même la possibilité de creuser l’écart.

Étapes marathon :

Centrale dans l’éventail des qualités dont doit disposer un parfait concurrent du Dakar, la question de la gestion des efforts sur le long terme est particulièrement mise à l’épreuve sur les étapes marathon. Cette année, le défi de San Salvador de Jujuy a été conçu selon des modalités qui n’ont plus été réunies depuis l’édition 1998 : un parc totalement fermé pour les véhicules, où même les concurrents n’auront plus accès. Privés de leurs structures d’assistance qui seront déjà en route vers la Bolivie, les pilotes et co-pilotes devront prendre en compte cette contrainte supplémentaire.

Les pilotes de motos et quads seront confrontés dans la deuxième semaine de course à une deuxième étape marathon, avec cette fois-ci la possibilité d’effectuer eux-mêmes l’entretien et d’éventuelles réparations sur leurs machines. Sur les deux journées de course qui les conduiront de Belen à La Rioja, ils auront donc près de 1 000 km à parcourir en relative autonomie, dont 560 km environ en spéciale.

Prime à la navigation :

La spécificité du rallye-raid, c’est aussi de savoir faire la preuve de son aptitude à l’orientation, avec le roadbook de l’étape comme principal outil de navigation. Afin de compenser l’avantage en termes d’anticipation dont disposent les équipes les mieux armées en logiciels de cartographie, le flou a été volontairement entretenu sur la localisation des spéciales. C’est pourquoi seuls les kilométrages globaux de liaison sont communiqués, jusqu’à la distribution des road-books à la veille de chaque étape.

Pour favoriser et récompenser l’instinct de la navigation, le placement des WPM (Way Point Masqué) a été en partie décorrélé de la construction du road-book. Les automatismes acquis depuis quelques années seront ainsi bousculés et quelquefois inopérants, les pilotes et co-pilotes étant invités à développer une lecture aussi attentive que libre des indications qui leur sont fournies.


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Source et images :
Dakar


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