Partager la publication "Photos McLaren F1 [BMW V12] road-cars exceptionnelles exposées Rétromobile 2022"
Fantastic! Lors de Retromobile 2022, l’organisation et Kidston, ont réuni 7 supercars McLaren F1 road-car des années 90 (châssis XP3, 016R, 007, 053, XPGT, 025R et 025), au Parc des expositions de la Porte de Versailles. Admirons un instant, grâce aux photographies de Ludo, reporter photographe Team DESIGN[MOTEUR], le modèle XP3, qui est l’un des premiers prototypes encore existants signé ‘McLaren Cars’ et l’ultra personnalisée peinte en coloris Dark Purple Hearl, chassis 025, 1994.
Ainsi, XP3, pour Experimental Prototype 3, est le dernier prototype restant et donc la plus ancienne McLaren F1 existante.
Après avoir dirigé en 1974 pour une écurie de Formule 2, Ron Dennis crée une nouvelle écurie de Formule 2 en 1975 : le Project Three (car après ‘Rondel Racing’ et le projet ‘Motul’, il s’agit de son troisième projet), ainsi en 1976, ‘Project Four’.
En 1979 puis 1980, ‘Project Four’ remporte le championnat britannique de Formule 3 (avec Chico Serra puis Stefan Johansson), et en 1979, le team P4 (‘p-four’) remporte également le championnat Procar (une série qui opposait les pilotes de F1 sur des BMW M1 en ouverture des GP).
En avril 1980, BMW annonce officiellement son entrée en Formule 1, donnant le feu vert aux ingénieurs de BMW Motorsport pour développer la première motorisation du genre de la marque. Réunis autour du talentueux Paul Rosche, les ingénieurs de BMW Motorsport conçoivent un moteur dérivé d’un 4 cylindres de seulement 1,5 litre, intégré à un bloc standard, qui délivre une puissance de 800 ch. Ce rendement hors du commun est le résultat de l’association de la technologie 16 soupapes et d’un turbocompresseur, commandés par un système électronique de gestion du moteur, Digital Motor Electronics, une première en F1.
Aussi,
En 1980, la firme ‘McLaren Cars’ fusionne avec l’équipage ‘Project Four Racing’ team, fondé en 1976 par Ron Dennis (former Brabham mechanichal), équipementier notamment en BMW M1 [M88/1 3.5L six cylinres en ligne] Procar Championship, planifié mi saison de la F1 dans les années 1980.
Ambitieux, Ron Dennis tente une nouvelle fois d’accéder à la Formule 1, et engage pour cela l’ingénieur britannique John Barnard, chargé de concevoir la première F1 de l’histoire en matériaux composites.
Marlboro, qui par ailleurs est fort mécontent des résultats en chute libre de l’écurie McLaren en Formule 1, tente alors d’opérer un rapprochement entre le Project Four de Ron Dennis et l’équipe McLaren (dirigée par Teddy Mayer).
…en 1970, Teddy Mayer se retrouve seul aux commandes du Team McLaren. Cela n’empêche pas l’équipe de poursuivre sa progression. Habile négociateur, Teddy Mayer parvient à obtenir le soutien de puissants partenaires financiers (notamment Marlboro), et sous sa direction, Emerson Fittipaldi en 1974 puis James Hunt en 1976 remportent le titre mondial. Mais à la suite du titre de Hunt, les résultats n’auront de cesse de décliner, entraînant le mécontentement de Marlboro. À la fin de l’année 1980, à la demande de Marlboro, l’équipe McLaren fusionne avec la structure Project Four de Ron Dennis, qui devient le nouvel actionnaire majoritaire de l’écurie…
instigated a merger with Ron Dennis’s Project Four F2 operation. Teddy Mayer left soon after, whilst with the help of John Barnard’s revolutionary carbon- fibre monocoque, McLaren took consecutive world titles in 1984, ’85 and ’86.
La fusion se concrétise en novembre 1980 et donne naissance au groupe McLaren International, dont Ron Dennis devient l’homme fort. C’est depuis cette fusion que le nom de code des châssis McLaren en Formule 1 débute par MP4 pour ‘Marlboro Project 4′. Depuis que Marlboro ne sponsorise plus McLaren, depuis la saison 1997, MP4 doit être lu comme ‘McLaren Project 4′.
Modified into the M88/1 by a team led by Paul Rosche (Technical head of BMW Motorsport)
At the end of 1980, the team merged with the ‘McLaren Formula One team’
Gordon Murray, who had previously worked with Rosche during their time at Brabham in the early 1980s, met Rosche after the 1990 German Grand Prix.
When his plans to develop an engine with Honda fell through, Murray turned to BMW Motorsport for their services. This led to Rosche being tasked with the development of an engine for the McLaren F1.
The goal originally demanded by Murray was a 4.5-litre V10 or V12 producing 550 bhp, with a maximum 600mm block length and 250 kg, including all the ancillaries, the exhaust and silencer.
The development of this engine started with a completely new design, taking a few components from the M70; the eventual result was the S70/2. This engine exceeded its goal at 627 bhp; however, it exceeded the maximum weight by 16 kg.
In the version used for racing, the F1 GTR, this engine won the 1995 24 Hours of Le Mans; later, it also won this title in 1999 with the V12 LMR.
Gordon Murray a conçu beaucoup de voitures de Grand Prix, dont certains ont été lauréats du Grand Prix du Championnat du Monde. Ces modèles comprennent l’extraordinaire BT46B, aussi connu comme ‘the Brabham fan car’, ainsi que les victorieuses BT49 et BT52. Murray a fait sa réputation pour une approche novatrice de la conception, appliquée non seulement aux concepts et détails de la voiture mais aussi à la stratégie de course.
La fusion des deux entités Manufacture-motoriste & F1 Team a permis -entreautres- de ramener le designer John Barnard, intéressé par l’utilisation du composite de fibre de carbone.
La fibre de carbone était déjà utilisée dans des applications aérospatiales mais n’avait jamais été appliquée à une monocoque complète de voiture de course.
McLaren a été le pionnier de l’utilisation de la fibre de carbone en course automobile avec sa nouvelle voiture monoplace de course, dénommé MP4/1, apportant de nouveaux niveaux de rigidité et de sécurité pour pilote en F1.
Ecclestone annonce le retrait de l’écurie Brabham dès le Grand Prix du Brésil 1988, revend l’écurie à Alfa Romeo. Bernie Ecclestone vend Motor Racing Developments à Alfa Romeo en 1988.
De fait, Gordon Murray rejoint McLaren. Alfa Romeo n’est pas engagé en Formule 1 et utilise ces ressources de l’ancienne écurie Brabham au développement de l’Alfa Romeo 164 Procar, dotée d’un châssis en matériaux composites et d’un moteur en position centrale-arrière. Également connue comme la BT57, elle doit être capable de concourir dans un championnat ‘Procar’, comme celui des BMW M1 quelques années plus tôt.
Après un premier titre en 1974, McLaren revient au sommet dans les années 1980 avec les moteurs TAG-Porsche turbocompressés et ensuite avec des moteurs Honda turbocompressés pour débuter, puis des moteurs atmosphériques de 3,5L correspondant à la réglementation en vigueur.
Dans l’écurie McLaren, sous la direction de Ron Dennis, les succès se succèdent avec des pilotes de renom comme Ayrton Senna, Niki Lauda ou Alain Prost, des moteurs puissants et efficaces, Honda, Porsche et Ford et des ingénieurs de talents comme Gordon Murray.
Mais ce dernier veut se lancer un autre challenge après tant de succès qu’il avait déjà connus chez Brabham. Il veut ‘to build a GT road-car!’. Poussée par ses succès en F1, l’équipe dirigeante du groupe McLaren, composée de Mansour Ojjeh, Ron Dennis, Bob Hillman, Gordon Murray et Creighton Brown décide de se lancer.
Le chef de projet est Gordon Murray et le design est créé par Peter Stevens. Une usine toute neuve est construite à Woking, face au siège de McLaren et une entreprise est créée spécialement en 1989 : McLaren Cars.
En août 1988, Dennis, le directeur de l’équipe et Gordon Murray ont commencé à développer une nouvelle voiture et en 1992, dont la F1-road-car a été lancée avec une production totale de 106 unités.
Le concept original a été créé et réalisé par Gordon Murray. Murray a réussi à convaincre Ron Dennis de soutenir le projet. Il a engagé Peter Stevens pour dessiner l’extérieur et l’intérieur de la voiture.
Le 31 mars 1998, le prototype XP5, muni d’un limiteur de régime modifié, a établi le record du monde Guinness de la voiture de série la plus rapide du monde, atteignant 240,1 mph équivalent à 386,4 km/h., dépassant le record de la Jaguar XJ220 …de 1993 (217,1 mph. équivalent à 349 km/h).
La mise en scène cinématographique de la McLaren F1, telle l’ultime automobile, fut d’ailleurs l’intro vidéo Need for Speed II, 1997, où un duel entre Lamborghini & Jaguar XJ220, se fait dépasser en course par the McLaren F1 road-car !
…a modified race car edition of the vehicle won several races, including the 1995 24 Heures, Le Mans, where it faced purpose-built prototype race cars.
Cette livrée devenue très célébre parmi les automotive enthusiasts, Team Bigazzi Fina BMW qui a participé aux 24 Heures du Mans 1996. Pour McLaren, il s’agira de confirmer la victoire de 1995 tout en commémorant le 30ème anniversaire de la victoire de Bruce McLaren sur Ford GT40 en 1966. -hisoire motorsportive aussi raconté en film-fiction LeMans66 -FordvFerrari, 2019-, chassis 016R, Marc Duez, Steve Soper & Jacques Laffite, 1996, Le Mans.
Et, châssis numéro 025, dont c’est la première sortie publique depuis 1995.
Celebrating the 30th birthday of the mythical McLaren F1, Simon Kidston and his team have dropped the mic once again – and brought together seven cars at this week’s Retromobile in Paris. The centerpiece of this stunning exhibition is the dark purple F1 once owned by Beatle George Harrison.
extrait/excerpt via classicdriver.com
In fact, it was McLaren International who pioneered modern automotive moulded carbon-composite chassis technology in 1981 with its race-winning Type MP4/1 Formula 1 design.
The F1 employs conventional Formula 1-style mid-engine mounting – a configuration ideal to combine optimum weight distribution and mass concentration within the wheelbase. Most mid-engined sports car designs compromise such conceptual purity with badly placed luggage, fuel or driver load, or by towering engine/transmission assemblies raising Centre of Gravity height.
Mass is the essential enemy of dynamic performance in any ‘supercar’ – there is no substitute for light weight. The F1’s mere 1,018kg (just 2,244lbs) includes the most powerful and efficient purpose-designed large capacity V12 engine ever applied in production. Coupled with a production car chassis designed to be more rigid than any previously conceived – the result is dynamic indeed.
extrait/excerpt via evo.co.uk/mclaren/f1/
In development of the F1, McLaren Cars have worked closely with Brembo of Italy to develop exceptionally high-performance brakes using – for the very first time on a production car – Formula 1-type ‘monobloc’ aluminium four-piston callipers, clasping the latest road-usable ventilated discs. Fully divided front and rear hydraulic circuits are actuated by the Formula 1-style floor-pivoted pedal, while the F1’s lightweight aluminium handbrake calliper has also been specially developed by Brembo.
extrait/excerpt via evo.co.uk/mclaren/f1/
.On all four wheel hubs, an ‘Om’ symbol is present.
There are some other special touches made to this F1 too. Harrison made Gordon Murray, creator of McLaren F1, insert idols of Lord Ganesh in various parts of the car and even between layers of carbon fibre. Moreover, the chassis of this F1 has Gayatri Mantra written on it. Only Gordon Murray knows where Gayatri Mantra is written. Moreover, the F1 comes with lit-up housing for a Ganesha idol between the seats.
extrait/excerpt via cartoq.com
The engine was taken from BMW, it was designed by Paul Rosche. It was a naturally aspirated, 6.1-litre, V12 petrol engine capable of producing a massive 627 Ps of max power and 650 Nm of peak torque. It was mated to a 6-speed manual gearbox that drove the rear wheels only. That was a massive power output considering that the F1 was launched in 1992 and weighed just 1.1 tonnes.
extrait/excerpt via cartoq.com
We like celebrating anniversaries in the classic car world. Given that the F1 is the greatest sportscar, if not the greatest car ever designed, its 30th anniversary is something that we felt really deserved to be celebrated. Therefore, here at Retromobile we have assembled seven of the most significant F1s ever built. From the earliest surviving prototype, XP3, to the rarest of all F1s, XP GT, which was of course the homologation car for the F1 long tail race car. However, the most significant of all the cars here is an F1 that was built and heavily customised for Beatle, George harrison. It’s being shown here today to the public for the first time in almost 30 years.”
Simon Kidston, British classic car dealer, collector, commentator and journalist – extrait/excerpt via classicdriver.com
The resultant naturally-aspirated V12 engine for the McLaren F1 has been purpose built by BMW Motorsport in Munich, Germany, to meet all these demands. Commissioned by McLaren Cars, BMW Motorsport’s design and development team has been led by their universally acclaimed senior engineer Dipl. Ing. Paul Rosche. The McLaren F1’s 6.1 litre 60-degree V12 engine is an entirely new four-cam, 48-valve unit extraordinarily compact design, sharing nothing with BMW’s unrelated smaller-capacity production-line V12.
The BMW Motorsport S70/2 V12 engine is individually hand-assembled and dyno-tested for each owner to produce one of the highest specific outputs for a large capacity naturally aspirated engine in production sports car history.
This 4-cam, 48-valve, 60-degree V12 engine’s 86mm bore and 87mm stroke displace 6,064cc. Compression ratio is 10.5:1 and with its chain driven DOHC valvegear and TAG Electronic Systems fuel injection and engine management, power output is over 550bhp at 7,500rpm., coupled to a peak torque in excess of 600Nm between 4,000 and 7,000rpm, with no less than 350Nm at only 1,500rpm!
The load bearing lightweight cylinder block is cast in aluminium-alloy with Nikasil coating. BMW Motorsport’s renowned engine weight and size reducing technology has led to the 6.1 litre V12 being little larger than current 3.5 litre Formula One racing engines.
The Engine Management system – EMS – combines the technology TAG has applied in Formula One and Group C management systems with the stringent extra demands of road-going emission control. Its computing power is approximately tens times that of a mass-market equivalent.
It provides individual ignition timing and fuelling control for every pulse on each cylinder and also manages the engine’s variable valve timing. Its software algorithms, which calculate ignition timing and fuel quantity, consider such diverse factors as the rate of throttle movement and ambient atmospheric conditions. Split-second calculations are repeated on every firing cycle to ensure the most instantaneous information is acted upon.
extrait / excerpt via https://www.evo.co.uk/mclaren/f1/ the-original-mclaren-f1-press-release-in-full-every-detail-of-the-incredible-v12
Source et images :
Rétromobile
McLaren Automotive (formerly known as McLaren Cars), spinning off McLaren Racing.
Texte by
Team DESIGN[MOTEUR]
Instagram @designmoteur
Twitter @designmoteur
Photos by
Ludo Ferrari Photography
Instagram @ludo_ferrari_photo
Partager la publication "Photos McLaren F1 [BMW V12] road-cars exceptionnelles exposées Rétromobile 2022"