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Nouvelle édition du rassemblement Sport et Collection sur le circuit du Val de Vienne au Vigeant qui a eu lieu début juin 2018, en partenariat avec le Club Ferrari France. Fait notable, la célébration des 50 ans de la Ferrari 365 GTB/4 Daytona sous la présidence de son designer Leonardo Fioravanti. Ludo passionné Ferrari, photographe reporter, nous montre un bel aperçu via une série de photographies.
Sport et collection 2018
Circuit du Val de Vienne ?
Ce circuit rapide propose plusieurs tracés dont le plus long fait 3768 mètres pour une largeur de piste de 11,4 m. Sa configuration intègre plusieurs lignes droites et permet d’atteindre des vitesses élevées, alors que les différentes portions techniques font appel à l’expérience du pilote. Le tracé comprend deux sections de chronométrage.
En 2010, selon le Comité départemental du tourisme, le circuit a accueilli 170 000 visiteurs. C’est le quatrième site touristique le plus visité du département de la Vienne.
Sport et Collection ?
Tous les ans le « Sport et Collection – 500 Ferrari contre le cancer » qui a obtenu l’agrément d’« association de bienfaisance » qui collecte depuis 1995 des dons destinés au Centre hospitalier universitaire de Poitiers. Le Département est partenaire de cette manifestation du cœur depuis son origine.
Du vendredi 1er au dimanche 3 juin 2018, les plateaux de démonstration se succèderont toutes les 30 minutes, avec roulage de nuit jusqu’à minuit le vendredi et créneaux de baptêmes de piste.
Sport et collection 2018 ont organisé les épreuves Pirelli Ferrari Formula Classic GB avec 3 courses FFSA de 20 minutes le samedi et le dimanche matin avant la traditionnelle parade Ferrari, pour la 24ème édition de Sport et Collection.
Photos Ferrari Sport & collection 2018
Photos sur le parking Sport & collection 2018
La Ferrari 360 Modena est une voiture sportive de luxe construite de 1999 à 2005 par le constructeur italien Ferrari. Cette Ferrari doit son nom (Modena) à la ville de Modène, lieu de naissance d’Enzo Ferrari, créateur de la firme marqué du blason au Cheval Cabré. Automobili Ferrari l’a mise au point avec le concours de Pininfarina pour le design et de Scaglietti pour la carrosserie. Pour la première fois chez Ferrari, la carrosserie est intégralement réalisée en aluminium.
La Ferrari 360 Modena est propulsée par un moteur V8 à 90° en position centrale arrière dont la puissance maximale de 400 ch. à 8 500 tr/min, avec cinq soupapes par cylindres. La réactivité est du à la boîte de vitesses « F1 », avec ses palettes au volant, permet de passer les vitesses très rapidement : quand le pilote engage un rapport supérieur, un « ordre » sous forme de courant électrique est transmis à un calculateur qui aura au préalable eu un maximum de données sur le régime moteur ainsi que quelques informations sur les actions du pilote. Ce dernier commande des pistons hydrauliques en envoyant de l’huile à l’embrayage (qui se scinde en deux parties) et à la commande de boîte qui passe la vitesse supérieure. Il en est de même pour les rapports suivants ainsi que lors d’un rétrogradage de vitesse.
En 2004, la Ferrari 360 Modena est remplacée par la F430 qui sera elle-même déclinée à la fois en coupé et en cabriolet Spider.
Apparue en 2006, la Ferrari 599 GTB Fiorano remplace les Ferrari 575M GTC et Ferrari 575M Maranello commercialisées en 2002, et succède, plus généralement, à la lignée des Ferrari 550 Maranello introduite en 1996. L’appellation « Fiorano » évoque le nom de la piste d’essais privée de Ferrari, le circuit de Fiorano, construit en 1972 près de Maranello, et sur laquelle les voitures de la marque sont testées.
La Ferrari Fiorano est du type « Grand Tourisme Berlinette », d’où les lettres GTB qui, chez Ferrari, désigne une voiture de sport deux-places, accompagné de son nombre 599, se réfèrant à la cylindrée totale du bloc, divisée par dix. La Berlinette GT dispose d’un bloc moteur dérivé de celui de la Ferrari Enzo (V12 6,0 L à 65° 48 soupapes. 660 ch) dont la puissance a été réduite de 40 chevaux, soit 620 ch. Le moteur est associé avec une boîte de vitesses manuelle à six rapports ou une boîte type F1 avec les palettes au volant. Les rapports se passent en 100 millièmes de seconde, à titre de comparaison une F1 effectue la même opération en 50 ms.
Présentée en catimini au Mondial de Paris 2010, une version confidentielle dénommé SA Aperta a été présentée. Appellation SA Aperta, en hommage à Sergio et Andrea Pininfarina, dont la carrosserie fêtait ses 80 ans cette année-là. 80 comme le nombre d’exemplaires produits. Seul le toit léger escamotable la distingue du coupé.
Tiens, mais Aperta ça ne vous pas quelque chose de tout récent ça !? 😉
Photos course sur circuit Sport & collection 2018
Ce modèle est représentatif des GT à moteur V8 (berlinette) de Ferrari ; il se base sur l’architecture de la Dino et donnera naissance à une lignée de sportives très nerveuses : 348, F355, 360, F430, F458 et dernièrement 488 GTB déclinées par la suite en version Challenge ou Scuderia, la version light, soit plus légère et plus puissante que la version de série. Cylindrée 3 000 cm3 / 10 = 300 + 8 soit le nombre cylindres en V implanté transversalement en position centrale arrière et délivrant une puissance de 255 ch., et encore la dénomination GTB comme la 599.
La F355 a été dessinée (comme beaucoup de modèles Ferrari) par Pininfarina, carrossier italien étroitement lié à l’histoire de la marque. La Ferrari F355 est un coupé à moteur V8 à 90° en position longitudinale centrale arrière dérivée de la Ferrari 348, dont elle partage la base. Son V8 de 3,5 litres et 380 ch à 8250 tr/min (régime maxi à 8 500 tr/min) est aussi le premier moteur de la marque à disposer de 5 soupapes par cylindre, ce qui explique par ailleurs sa dénomination : 355 pour 3,5 litres de cylindrée, et 5 pour le nombre de soupapes par cylindre. C’est la première Ferrari à proposer la boîte séquentielle F1 à commande au volant, technologie héritée de la Formule 1.
Tiens, en ce moment c’est l’E3 2018, alors parlons racing gaming ici un peu, et beaucoup sur Select Starter ! F355 Challenge « sort » en juillet 1999 dans les salles d’arcade sur une borne à 3 écrans, le jeu est une véritable démonstration de force pour le système SK-V NAOMI de SEGA, et propose de piloter une Ferrari F355 Challenge dans un environnement aussi réaliste que possible. La borne incluant une embrayage et une commande de boite à 6 rapports en « H ». Six circuits sont proposés sur cette version : Twinring Motegi, Suzuka Short, Sugo, Monza, Suzuka Long et Long Beach.
Comme de coutume chez Ferrari avec les berlinettes à moteur V8, la récente 488 est déclinée en une version course exclusivement destinée à un usage sur circuit. Cette version est baptisée 488 Challenge et est présentée en décembre 2016 à l’occasion des Ferrari Finali Mondiali. V8 biturbo 32V à injection directe, à 90° et 670 ch.
Ferrari 488 Challenge 2017 : présentation Ferrari Finali Mondiali à Daytona
Photos pause Sport & collection 2018
La Ferrari GTO fut destinée, à l’époque, une fois préparée, à courir dans le FIA Groupe B, et la 288 fut produite à seulement 272 exemplaires. Sa version Evoluzione pour le Groupe B servit de base de développement à la F40.
En 1984, Enzo Ferrari concentrait depuis plusieurs années l’ensemble de ses efforts sur la compétition et, en particulier, sur la Formule 1. Toutefois, soucieux de combler le vide vertigineux qui séparait déjà à l’époque les voitures de sport de celles de la production, la firme de Maranello décida de concevoir et proposer une voiture conforme à la définition du FIA Groupe B, c’est-à-dire compétitive sur route comme sur circuit et satisfaisant l’obligation d’une production minimale de 200 exemplaires. Ferrari en profita pour ressortir à la lumière un sigle prestigieux GTO pour « Gran Turismo Omologato » de la légendaire 250 GTO dont on a évoqué nombreuses choses lors de la présentation de la F12tdf (F12berlinetta hommage à Ferrari 250 GT Berlinetta Tour de France).
Produite entre 1987 et 1992, pour fêter les quarante ans de la marque, cette supercar succède à la Ferrari 288 GTO. La F40 est l’ltime création du Commendatore Enzo Ferrari, et au moment de sa sortie, la voiture la plus rapide, la plus puissante et la plus chère de l’histoire de l’automobile.
Ferrari F40 : la supercar della Scuderia en F1 & du projet GTO de rallye au V8 …cabrée à 478 ch.
En 2016, après la fin de la production des hypercars LaFerrari, l’entreprise Ferrari met en œuvre la production d’un nouveau modèle nommé LaFerrari Aperta, version découvrable du coupés, dans une série limitée à 209 exemplaires (dont 9 réservés à l’usine) avec la même motorisation et avec des performances quasi similaires, de 963 ch via un système moteur hybride, et présenté au Mondial de l’automobile de Paris 2016 dans le cadre de l’anniversaire des 70 ans Ferrari. Ludo et moi, nous y étions !
LaFerrari Aperta : 6.3L V12 800 ch. e-moteur 163 ch. team up 963 ch. #MondialAuto #70thAnniversary
Photos parade sur circuit Sport & collection 2018
Produite en série en deux versions entre 1968 et 1973 : berline coupé 365 GTB/4, et cabriolet spider 365 GTS/4, elle entre dans la légende en étant la Voiture de sport la plus puissante et rapide au monde de son époque, en concurrence avec la Lamborghini Miura.
DAYTONA ! La Ferrari 365 a été surnommée Daytona par les médias, en souvenir de la triple victoire historique de Ferrari aux 24 Heures de Daytona aux États-Unis en 1967, avec la victoire du prototype Ferrari 330 P4 piloté par Lorenzo Bandini et Chris Amon, face aux Ford GT40, sur le fameux circuit « ovale » Daytona International Speedway.
En 1966, Ferruccio Lamborghini propose la Lamborghini Miura, GT à moteur V12 central-arrière transversal qui révolutionne le monde des GT, devenant la première supercar au monde au moteur Posteriore 4 litri. V12. 350 ch. Genève 1966, en surpassant les Ferrari 275 GTB de l’époque. Le grand succès de ce concurrent pique au vif Enzo Ferrari qui décide de répliquer avec cette 365 GTB/4 Daytona à moteur V12 avant, conçue par le designer Pininfarina Leonardo Fioravanti, et considéré comme un des chefs-d’œuvre historique de la marque.
Dévoilée avec un vif succès au Mondial de l’automobile de Paris 1968, la Ferrari 365 succède aux Ferrari 250 GTO, Ferrari 250 GT California Spyder et autres Ferrari 275 GTB/4. La « Daytona » est, comme ses devancières, une berlinette à propulsion à moteur avant, de conception classique, conforme à la vision qu’a Enzo Ferrari des automobiles de sport.
Développé à partir du moteur V12 Ferrari Colombo de la Ferrari 275 GTB/4 précédente, ce moteur baptisé Type 251 est poussé à 4,4 litres, pour 352 chevaux et 281 km/h de vitesse de pointe, avec quatre arbres à cames en tête et carter sec, à deux soupapes par cylindre, simple allumage et chambre de combustion hémisphériques, le tout est alimenté par 6 carburateurs Weber double corps de 40 mm. L’architecture de transmission est de type transaxle, la boîte de vitesses est donc positionnée sur le pont arrière, pour garantir une bonne répartition des masses entre les trains avant et arrière.
Les Ferrari 365 Daytona n’ont pas été engagée officiellement en course par Ferrari, mais ont participé à titre privé, à de nombreuses compétitions automobiles, dont le Championnat du monde des voitures de sport, 24 Heures du Mans 1971, 24 Heures du Mans 1972, 24 Heures du Mans 1973, 24 Heures du Mans 1974, 24 Heures du Mans 1975, 24 Heures du Mans 1977, 24 Heures du Mans 1978, Le Cannonball 1979…, avec une seconde place historique remarquable aux 24 Heures de Daytona de 1979, cinq ans après la fin de sa fabrication. La Ferrari 365 Daytona est également lauréate de très nombreux prix de concours d’élégance d’automobiles de collection dans le monde.
Engineer Designer Leonardo Fioravanti
« Pour moi, la voiture qui représentait un véritable défi avec la tradition des précédentes berlines à moteur avant Ferrari, c’était la 365 GTB 4 Daytona. C’était vraiment difficile de ranger un moteur de cette taille et de cette capacité (4,4 litres) dans un profil aérodynamique qui était à la hauteur d’une Ferrari d’excellence, mais, avec un peu d’artifice, je crois que j’ai gagné ce défi. Je pense que la Daytona, est l’une de « mes » Ferrari les plus réussies », dit avec un sourire satisfait.
« Pour obtenir un élan accentué qui donnait à la voiture une silhouette basse et pointue, j’ai dû concevoir un capot avant très long mais suffisamment incliné. Cela aurait « alourdi » les lignes de la voiture et les aurait rendues non harmonieuses. J’ai donc conçu cette bande en plexiglas transparent sur le devant, qui couvrait les phares et enlevait une trentaine de centimètres de métal du nez (c’est devenu l’un des 35 brevets internationaux déposés par Fioravanti à ce jour). Grâce à cette astuce, le capot semblait plus léger et plus mince, donnant à la Daytona l’impression d’être une seule ligne de tension, qui courait sans discontinuité de l’avant vers l’arrière, à quelques centimètres du sol.
– Leonardo Fioravanti, engineer Designer
via Auto.it – Le Ferrari più belle di Fioravanti –
Fondateur et directeur général de Fioravanti Srl, Leonardo a étudié l’ingénierie mécanique au Politecnico di Milano, spécialisé en aérodynamique. Avant de fonder Fioravanti Srl, il a travaillé 24 ans avec Pininfarina en réalisant de nombreux modèles pour Ferrari, dont la Ferrari Dino 206, Ferrari 365 Daytona, Ferrari P5, Ferrari P6, Ferrari 512 Berlinetta Boxer, la Ferrari 365 GT4 2+2 (précurseur de la Ferrari 400), la Ferrari 308 GTB, la Ferrari 288 GTO et la Ferrari 348. Il est ensuite devenu chef de la direction et directeur général de Pininfarina Studi e Ricerche.
De 1988 à 1991, il a travaillé pour le Groupe Fiat, d’abord comme directeur général adjoint de Ferrari, puis comme directeur en charge du centre de style FIAT et Alfa Romeo. En 2008, il a produit la Ferrari SP1, un modèle, un modèle unique, précurseur du projet « Special Project », un programme créé par Ferrari elle-même pour la création de pièces uniques créées en collaboration avec les plus grands noms du design italien pour des clients privés.
Le 18 janvier 2017, au Festival International de l’Automobile à Paris, il a reçu le prix d’honneur en tant que designer.
Festival Automobile International 2017 – Expo Concept-cars & designer Leonardo Fioravanti
Les Ferrari P sont des voitures de Sport-prototypes des années 1960 et début 1970 engagées en championnat du monde des Sport-prototypes de 3 litres de cylindrée. Bien qu’elles partagent leur dénomination, basée sur la cylindrée du moteur, avec des modèles routiers, elles en sont totalement différentes.
Ferrari n’a jamais dépassé les 4 l sur ses prototypes sportifs, même lorsque la marque était confrontée aux moteurs américains de 7 litres. Pour compenser cet écart de performances, le V12 de la 330 P2 s’appuyait sur une conception très élaborée avec deux arbres à cames en tête par rangée de cylindres. De même, le châssis était renforcé par des panneaux fixés à l’extérieur du cadre, et la suspension rappelait clairement les monopostes des F1. – Auto.Ferrari.com/fr
Présentée à Paris en novembre 1963, la Ferrari 250 LM (« Le Mans ») est une déclinaison Grand Tourisme de la Ferrari 250 P. Destinée à remplacer la victorieuse 250 GTO, mais ne sera pas homologuée. Son seuf haut fait fut de gagner les 24 Heures du Mans en 1965 en catégorie alors P 5.0.
Ancien pilote de Formule 1 britannique et pilote de sport automobile anglais, David Piper a participé à 3 Grands Prix du Championnat du Monde de Formule 1, débutant le 18 juillet 1959. Il a également participé à des courses non championnes en 1962, mais il était devenu désenchanté par les courses monoplaces et s’est lancé dans la course automobile sportive avec une Ferrari GTO.
La 458 Italia est une voiture de sport produite de 2009 à 2015 par le constructeur italien Ferrari. Les deux premiers chiffres de son nom indiquent la cylindrée du moteur et le dernier, le nombre de cylindres. Le nom « Italia », succédant à « Modena » et « Maranello », rappelle les origines géographiques de la marque.
Par rapport à la F430, la base mécanique est similaire, mais elle a fait l’objet de diverses modifications. Toujours monté en position centrale arrière, le moteur V8 bénéficie désormais d’une injection directe. Sa cylindrée est portée de 4,3 à 4,5 litres, ce qui lui permet de développer une puissance de 570 chevaux à 9000 tr/min, soit 80 de plus que la F430 ; sa puissance spécifique atteint ainsi 127 chevaux par litre de cylindrée battant ainsi le record du monde (pour les autos), détenu jusqu’alors par la Honda S2000.
Le Moteur Honda F20C est un moteur thermique automobile à combustion interne, essence quatre temps, équipant d’origine la Honda S2000 AP1, le F20C est un moteur atmosphérique à distribution variable VTEC de type 4 cylindres en ligne 2,0 litres développant 240 ch (120 ch/l) à 8 300 tr/min (Japon : 22,2 mkg à 7 500 tr/min et 250 ch à 8 600 tr/min, soit 125 ch/l). Le rupteur se situe à 9 000 tr/min. La puissance spécifique de 125 ch/l atteinte par ce moteur était, jusqu’à l’apparition de la Ferrari 458 Italia, le record absolu pour un moteur atmosphérique sur une voiture de série, il reste tout de même le meilleur 4 cylindre atmosphérique au monde.
La désignation 348 se réfère à la cylindrée du moteur de 3,4 litres et aux huit cylindres. Le « T » désigne la boite de vitesses transversale montée à l’arrière du moteur, et « B » pour berlinette, ou en version TS avec « S » pour spider.
La vettura monta una versione del motore F140, un V12 di 65° a ciclo Otto, iniezione diretta e ad alimentazione atmosferica, montato in posizione centrale, di 6262 cm³ erogante 800 CV a 9000 giri/min, 700 N m di coppia a 6750 giri/min, con rapporto di compressione di 13,5:1; in aggiunta il sistema di recupero di energia HY-KERS, con gli ulteriori 163 CV sviluppati dal relativo propulsore elettrico, porta i valori combinati di potenza e coppia a, rispettivamente, 963 CV ed oltre 900 N m.
Source et images :
Ludo Ferrari Photography – Team DESIGNMOTEUR –
instagram.com @ludo_ferrari_photo
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